Les médias parlent de nous (août 2023)

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Chez nous
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Date de publication

Quand 2 millions d’Uruguayens en sont à boire de l’eau salée au robinet faute d’anticipation et d’investissements, chez nous, des riverains râlent pour les détours qu’occasionnent nos chantiers de sécurisation en eau… Petit tour de ce qui s’est dit dans les médias ce mois-ci.

C’est une situation relayée par le journal français Le Monde ou encore la RTBF : depuis le mois d’avril, les habitants de Montevideo et sa région (2 millions d’habitants, soit presque autant que nos clients SWDE) ont de l’eau salée au robinet !

En cause, une importante sécheresse. Pour ne pas être confronté à des robinets à sec, la société publique de distribution d’eau a trouvé cette solution : mélanger le peu de réserve restante à de l’eau provenant de l’estuaire tout proche, salée en raison de la proximité de l’océan Atlantique. Tout ça sans infrastructures pour dessaliniser l’eau et la rendre potable…

L’eau « n’est pas potable », mais elle est « buvable et consommable » déclare le ministre uruguayen de l’environnement, Robert Bouvier. Cependant, le ministère de la santé la déconseille aux personnes souffrant de maladie rénale chronique, aux femmes enceintes, etc.

Extrait de l’article du Monde, , publié le 16 août

Visite de la première usine de dessalement en Europe… chez Farys à Ostende

Hasard du calendrier, La Libre propose une visite de l’usine de dessalement de la société des eaux Farys à Ostende, qui puise de l’eau saumâtre dans le canal Bruges-Ostende et la rend potable pour 100 000 personnes.

Une visite à découvrir en vidéo en cliquant sur l’image :

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A Gouvy, la commune a mis en place des restrictions d’eau

Des travaux de liaison et sécurisation viennent déjà de se terminer pour permettre à la SWDE d'injecter si besoin. En attendant, les citoyens sont priés de consommer avec parcimonie.

Extrait du reportage de TV Lux du 9 août

Et chez nous ? Un chantier de l’autoroute de l’eau ennuie les riverains à Grâce-Hollogne qui doivent faire 15 km de détour

Quand certains en sont à boire de l’eau salée à l’autre bout du monde, d’autres dénoncent des conditions de circulation imposées par un de nos chantiers à Bierset, sur la commune de Grâce-Hollogne. Mené avec la CILE, c’est un chantier du schéma régional des ressources en eau qui doit à terme permettre d’amener de l’eau d’Eupen jusqu’à Wellin en passant par Andenne. Et donc de sécuriser l’approvisionnement en eau.

Le journal La Meuse relaie le témoignage d’un riverain qui explique devoir effectuer un détour de 15 km. Et ce jusqu’au mois d’octobre.

Je comprends très bien la situation, d’autant que je suis moi-même, ainsi que mon épouse, impacté par ces travaux. Toutes les parties concernées ont examiné les différentes solutions et ont instauré les moins contraignantes pour lesquelles la sécurité prime avant tout.

Le bourgmestre de Grâce-Hollogne, dans La Meuse du 10 août

Du côté de Seraing, la commune est défavorable à l’installation à Boncelles d’un bassin en lien avec ce même projet du schéma régional des ressources en eau. En cause, la réalisation de notre chantier pourrait faciliter un gros projet immobilier de 68 logements sur une parcelle juste à côté. Un projet immobilier dont ne veut pas la Ville de Seraing pour préserver le caractère « vert » de ce quartier. Les autorités communales attendent l’avis de la Wallonie avant de se prononcer sur la demande de la SWDE.

Mais pourquoi les communes disent que les effondrements de voirie sont dues à des fuites d’eau ?

Que ce soit à Nivelles ou un effondrement a eu lieu voici un an ou plus récemment du côté du Roeulx, lorsqu’une voirie s’effondre, on peut rapidement entendre les communes ou le Service Public de Wallonie justifier que c’est à cause de fuites d’eau.

Les travaux de réparation et d’indemnisation de ce genre de situations peuvent coûter beaucoup d’argent aux responsables. Voilà sans doute une raison qui peut motiver à identifier notre société comme responsable. Notre position est simple : si effectivement nous sommes reconnus comme responsable de la situation, nous assumons.

« Aussi vital que soit le secteur de l'eau, il n'existe pourtant pratiquement pas de structure d’enseignement spécifique qui y mène... »

Cet extrait d’un article paru dans Références, le supplément « Emploi » du Soir et de Sudinfo reflète une réalité que nous connaissons bien.

L’occasion pour Quentin, notre responsable de la gestion des formations, de mettre en avant le travail des équipes du Centre de compétences ainsi que des collègues formateurs internes.

Un élément de plus pour motiver les talents en recherche d’emploi à devenir l’un de nos nouveaux collègues. Les postes ne manquent pas. N’hésitez pas à partager les offres d’emploi vers votre entourage ou votre réseau.

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