Quand nos fontainiers font découvrir la recherche fuite aux journalistes
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Lorsque les températures baissent, l’intérêt des médias pour les fuites d’eau augmente. C’est ainsi que L’Avenir a suivi Vivian (secteur de Dinant) et RTL a accompagné Thierry (secteur de Aye), deux de nos collègues de la recherche fuite. Après deux mois où l’actualité liée aux PFAS nous a beaucoup secoué, découvrons en détail, ce que les médias ont dit de nous en ce mois de janvier.
C’est un métier bien connu en interne mais beaucoup moins par nos clients que L’Avenir a mis en avant fin janvier : celui de chercheur de fuites. Avec un chiffre qui semble impressionnant
Le journaliste a suivi une équipe de Recherche fuite du secteur de Dinant. Notre collègue Vivian s’exprime à plusieurs reprises.
L’occasion d’expliquer en quoi consiste le travail de nos collègues de la recherche de fuites et le fait que, tous comme ceux qui réparent ces fuites, ils travaillent même par -9° au thermomètre.
Quelques jours auparavant, c’est Thierry, fontainier RF à Aye, qui emmenait une équipe de RTL Info à Aywaille…
A noter que lorsqu’une fuite survient et que les riverains se retrouvent sans eau, un élément génère souvent de la frustration chez nos clients : le fait de ne pas être prévenu. C’est ce qu’explique à SudInfo un habitant de Beloeil après une interruption de fourniture d’eau.
Que s’est-il passé à Ligneuville, petit village de Malmedy ?
Durant 9 jours, les habitants de Ligneuville ont dû faire bouillir l’eau du robinet cinq minutes avant de la consommer. La présence de bactéries la rendait non potable sur les hauteurs de Malmedy. Cette situation est désormais du passé, comme le relate La Meuse Verviers.
Mais d’où venaient ces bactéries ? Sans doute d’installations privées non-conformes qui refoulaient de l’eau dans notre réseau. Nos équipes ont effectuées plusieurs interventions chez ces personnes. Pour l’instant, tout va bien…
Et du côté des PFAS, que se passe-t-il ?
Les PFAS sont toujours dans l’actualité en ce mois de janvier. Les habitants de plusieurs communes ont ou auront la possibilité d’évaluer la présence de PFAS en eux via une prise de sang. C’est ce qu’on appelle un biomonitoring. Cela permet d'obtenir une estimation réelle et globale de l'exposition des personnes aux substances chimiques, toutes sources et voies d'exposition confondues (notamment ce qu’on respire, ce qu’on mange, …).
La DH et l’Avenir indique que 13% de la population des communes de Chièvres, Ath, Leuze et Beloeil se sont inscrits. Soit 1.650 sur près de 12.000. Cela, c’était pour mi-janvier ; le chiffre est en augmentation constante.
Du côté de Chièvres, on s’interroge : une ancienne décharge pourrait-elle être à l’origine de cette pollution aux PFAS ? Des citoyens ont interpellé la Wallonie pour qu’une enquête soit réalisée, indique plusieurs médias.
Les pluies en Belgique, un bon point pour la recharge des nappes…
Vous en avez marre du mauvais temps ? Et pourtant, la pluie permet de recharger nos nappes pour l’été. LN24 a consacré une séquence sur ce sujet. La situation est forcément très favorable, même s’il faudra attendre la fin de la recharge hivernale, en mars, pour tirer des conclusions définitives.
En Espagne, face à la sécheresse, on réduit la pression !
Un contraste saisissant avec l’Espagne où, à Barcelone, on réduit la pression au robinet pour limiter la consommation, comme le raconte France Info.
Face à la pire sécheresse depuis un siècle, toute cette région d’Espagne, la Catalogne, doit prendre des mesures drastiques et va faire venir de l’eau par bateau depuis Marseille…
Quand on baissera la pression, les habitants du rez-de-chaussée ne s'en rendront pas compte, mais ceux d'en haut s'apercevront du changement.