Un château d’eau transformé en gîte, ça vous tente ?

100.000€ d’achat à la SWDE en 2008, 7 fois plus pour le transformer en gîte et 10.000 heures de travail. Ce sont les chiffres fous d’un projet qui l’est tout autant pour ce couple de Hombourg, petit village de la commune de Plombières à l’est de la Wallonie. Vedia, la télévision locale verviétoise a consacré un reportage à ce sujet.

L’endroit est devenu un gîte destiné aux couples, pour se ressourcer dans le pays de Herve. Cela vous intéresserait d’y dormir ? Dites-le-nous en commentaire. Si cela suscite de l’enthousiasme parmi vous, on pourrait envisager un concours pour offrir une nuit là-bas…

Ce n’est pas tous les jours qu’on doit faire évacuer un palais de justice… Et c’est encore plus rare que ce soit dû à une fuite d’eau. La Nouvelle Gazette relate cette histoire à la mi-octobre : il n'y avait plus d'eau dans le bâtiment, ce qui empêchait d'utiliser les sanitaires. Tout a pu rentrer dans l’ordre dès le lendemain après que nos équipes ont réparé cette fuite.

A Glimes, petit village de la commune d’Incourt (Brabant wallon), les riverains se plaignent de coupure d’eau à répétition, comme l’explique L’Avenir et la DH. En cause, un réseau plutôt vétuste.

Même s’il est conscient et ennuyé par cette situation, l’échevin des travaux de la commune met en avant le travail de nos équipes.

Léglise est une commune qui gère son réseau d’eau de manière autonome. L’Avenir annonce que son coût-vérité à la distribution va augmenter en 2025. De 0,002954 € le litre, il va passer à 0,003011€. A cela, il faut évidemment ajouter le CVA (coût-vérité à l’assainissement), la TVA et le fonds social de l’eau.

C’est le signal que la commune investit dans son réseau pour le renforcer et améliorer la qualité de son eau. Des aspects positifs pour les habitants de cette localité.

Début septembre, c’est Attert, une autre commune de la Province du Luxembourg qui annonçait, comme le répercute L’Avenir, vouloir investir dans son réseau d’eau. Une somme de 4,5 millions d’euros est évoquée. Les travaux s’étaleraient sur plusieurs phases.

Nous l’avons évoqué dans un de nos contenus, le public a pu découvrir le réservoir de Loverval (Charleroi) dans le cadre de la Journée Découverte Entreprises.

Sud Info évoque cette journée et pourquoi cela fait sens pour la SWDE d’y participer : « Ouvrir son robinet est toujours un geste très commun. Tellement banal, que l'on ne mesure plus l'ampleur des moyens qu'il faut déployer pour en arriver là. En ouvrant le site lovervalois, la SWDE a à cœur de permettre au public de se rendre compte de cette réalité, de sa complexité et de l'importance des infrastructures et des compétences mobilisées quotidiennement au service de la distribution de ce bien essentiel qu'est l'eau potable. »

Ou du moins, pas d’eau potable gratuite. C’est l’interpellation remontée à RTL par deux visiteuses.

L’occasion de rappeler que si on veut un point de distribution d’eau gratuite, il faut que quelqu’un prenne en charge tous les coûts qu’il y a derrière. Pairi Daiza évoque d’ailleurs (dans Le Soir et Sud Info) un projet de mise à disposition de fontaines d’eau… payantes.

Un débat loin d’être simple…