Entre santé et sécurité, le SIPPT s'est adapté face au Covid-19

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Aujourd'hui, en plus de l’aspect sécurité, le SIPPT passe au crible le respect des mesures anti-Covid-19. Lors d’une visite, nous avons suivi Christelle Mélisen, l’une de nos conseillères en prévention de la Zone Est.

« Mon travail, c’est de vérifier que toutes les mesures soient bien respectées, aussi bien celles liées à la sécurité que celles en rapport avec le Covid-19 » explique Christelle, tout en enfilant sa chasuble de sécurité.

La visite de chantier se passe à Louveigné, près de Sprimont, et concerne une recoupe dans le cadre d’une pose d’extension de réseau. C’est Patrice Lambert, surveillant de marché de la zone Est, qui supervise les travaux.

« Pendant le confinement, ça a été une période compliquée. On a pris pas de mal de retard sur nos chantiers, confie Patrice tout en enchaînant : l’important, c’est la santé de chacun, et donc de nos sous-traitants ».

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Du gel, du savon et réduire les équipes sur place

Autour de la tranchée, chacun respecte la distance requise et porte un masque. Pour s’assurer que les nouvelles mesures sont bien en application, Christelle se réfère à une check-list prévention Covid-19.

Christelle vérifie également la camionnette du sous-traitant. À bord, on doit retrouver : un bidon d’eau, du savon et/ou du gel hydro- alcoolique.

Je m’assure que les ouvriers ont reçu le matériel et les informations nécessaires de la part de leur employeur. Les équipes ont également été restreintes pour diminuer le risque de contamination

Christelle Mélisen
Christelle Mélisen, Conseillère en prévention
Miguel, fontainier au Centre d’exploitation de Stembert, profite du passage de Christelle pour lui présenter sa camionnette équipée au mode « covid ».
Miguel Cozar, fontainier au Centre d’exploitation de Stembert, profite du passage de Christelle pour lui présenter sa camionnette équipée en mode « Covid-19 ».

« Dans cette crise, il faut savoir où mettre le curseur. Ici, il s’agit d’une petite équipe et il n’y a pas de sanitaire. Comme j’ai remarqué que les distances étaient respectées, l’important n’est pas spécialement le port du masque mais la présence de gel hydroalcoolique. Sur les plus gros chantiers qui comptent jusqu’à 9-10 personnes, le port du masque va être primordiale. »

Après plus d’une demi-heure, Christelle ne signale aucun problème et clôture son rapport. Jusqu’à présent, les règles sont bien suivies et les bons réflexes adoptés pour la majorité des chantiers qu’elle contrôle.