Nos données, une autre ressource

L’eau est, bien évidemment, notre première et principale ressource. Mais la donnée s’affiche de plus en plus comme un élément majeur dans le fonctionnement optimal de l’entreprise, dans l’accomplissement de sa mission : fournir de l’eau potable au robinet des consommateurs.

Les données prennent des formes multiples et variées : l’indicateur de niveau dans la cuve d’un château d’eau, le taux de chlorures résultant de l’analyse d’un échantillon prélevé au robinet d’une cuisine, le débit de l’eau dans une canalisation, la présence ou non d’un clapet anti-retour sur l’installation privée d’un client, etc.

En guise d’illustration, voici quelques volumes de données enregistrés par nos différents logiciels:

Les données récoltées nous permettent de trouver des solutions pour anticiper et répondre à nos besoins, tant managériaux qu’opérationnels, et de prendre les bonnes décisions.

L’une des clés du succès de ce programme est l’implication de tous. A un moment ou à un autre, nous sommes amenés à récolter, communiquer ou utiliser nous-mêmes des données. Chacun a un rôle à jouer dans la remontée correcte des informations.

« Il faut que chacun, dans son travail, s’implique et fasse preuve de rigueur dans la collecte et dans l’enregistrement des données, commente Gaëtan, architecte fonctionnel au service Informatique. La même rigueur doit aussi se retrouver dans leur contrôle ». Il s’agit là de la responsabilité plus particulière des managers ou des chefs d’équipe. A eux de faire le tri et d’extraire les données essentielles : celles qui leur fourniront les indicateurs pertinents à leur activité, grâce auxquels ils pourront suivre les progrès accomplis dans leur service/processus. Mais aussi, et surtout : envisager les actions ou corrections à mener.

Nous sommes tous garants de la qualité et de l’exactitude des données transmises. Celles-ci sont notamment capitales pour le bon fonctionnement du service Clientèle.

Une autre condition de la réussite de ce programme réside dans la fiabilité et la simplicité du matériel informatique mis à disposition. « L’IT doit fournir des outils adéquats qui soient facilement utilisables sur le terrain. De plus, les programmes informatiques liés à ces outils doivent être intégrés de manière à limiter les activités sans plus-value tels que, par exemple, les doubles encodages », ajoute Gaëtan.

Et que ceux qui ne se sentent pas à l’aise avec les nouvelles technologies soient apaisés : ils ont la possibilité de s’y familiariser par des formations. Chacun d’entre nous bénéficie aussi de la possibilité de se perfectionner et de développer en permanence ses compétences en lien avec les nouvelles technologies.