Petites manies : on a tous un collègue qui …
Vous appréciez votre collègue, mais certaines de ses habitudes vous dérangent. Si vous ne savez pas comment lui dire, envoyez-lui cet article
Voici une liste non-exhaustive des tics les plus courants répertoriés parmi nos collègues :
On a tous un·e collègue qui... a la bougeotte !
« Tap, tap, tap ». Ce son, c’est celui de votre collègue qui tape frénétiquement du pied avec la régularité d’un métronome. Un mouvement répétitif souvent propre aux périodes de rush et/ou de stress, même si très certainement inconscient... Variante : la balade du bic pianoté sur l’extrémité du bureau.
Si cette rythmique vous fait hérisser les poils, vous souffrez peut-être de misokinésie.
On a tous un·e collègue qui...mange du poisson à midi
C’est un grand classique : les restes du cabillaud de la veille réchauffés au micro-ondes du réfectoire... Mais on n’ose jamais trop rien dire : premio, parce qu’on n’a pas envie de passer pour le rabat-joie de service et deuzio pour ne pas blesser cette personne qui a l’air si fière d’avoir prévu son lunch. Et puis, il y a toujours pire : le fromage de Herve dans les tartines.
On a tous un·e collègue qui...vous fait la bise
Le Covid nous avait imposé la distanciation sociale. Et pour vous, c’était le pied. Plus besoin de vous farcir vos collègues qui vous claquaient la bise pour vous saluer. Il faudra vous y faire, ce virus ne sera pas venu à bout de cette tradition à la SWDE.
Retour de la bise au travail ou adoption définitive du check ?On a tous un·e collègue qui...vous interpelle toutes les cinq minutes
C’est souvent le petit nouveau du service dont on vous a confié la noble tâche de prendre sous votre aile. Comme un oisillon tombé du nid, il vous lance sans cesse des appels à l’aide dès les premières minutes de son entrée en service. Vous l’aidez car vous êtes sympa mais ses questions plombent bien votre concentration.
On a tous un·e collègue qui...vous appelle sur Teams alors que vous êtes B-U-S-Y
Mais cette personne ne recule devant rien. Et surtout pas devant une “petite boule rouge”. Dans ce cas de figure, deux solutions : soit ça vous exaspère - rien de pire que la sonnerie stridente de Teams qui résonne dans vos oreilles, soit ça vous met juste un coup de pression pour clôturer votre appel en cours.
On a tous un·e collègue qui...nous raconte les aventures de Mistigri
Ça marche aussi pour Nestor. Vous aimez les animaux, mais des photos (presque) tous les jours, c’est trop.
On a tous un·e collègue qui...nous manque
Les congés de cette période estivale vous donnent finalement le cafard. Il fait calme, trop calme. La chaise de votre collègue pue le silence. Et même si ses petites manies vous horripilent, elles rythment votre quotidien. “Un seul être vous manque et tout est dépeuplé”
Si vous aussi vous avez “un·e collègue qui...”, faites-le nous savoir