Qu'est-ce qu'il fait ? Qui c'est celui-là ?

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En 2024, nous avons accueilli 128 nouveaux collègues. Ils seront plus nombreux encore cette année à rejoindre nos différents services. Dans cette ruche foisonnante qu'est la SWDE, comment ne pas passer pour un anonyme ? Comment franchir les portes de l'entreprise en se sentant accueilli par l'ensemble ? « Nos idées ont de la valeur » s'est penché sur la question.

Bien sûr, la solution idéale serait que chaque nouveau venu, quel que soit son grade et sa fonction fasse le tour de tous nos sites pour se présenter. Du barrage du Ry de Rome au centre de maintenance d'Eupen, de Bertrix à Gaurain-Ramecroix. Impensable. Infaisable. Insensé.

Quelle solution - Au rythme des nouvelles arrivées, c'est-à-dire maximum tous les deux mois, un mail parvient dans la boîte aux lettres électronique de chaque membre du personnel. Il est intitulé « Bienvenue à nos nouveaux collègues ». On y découvre les visages, les identités, les fonctions et les lieux où travaillent celles et ceux qui ont été engagés dans les semaines précédentes. Rien de révolutionnaire en soi, mais c’est déjà beaucoup !

Revoir l'interview de Nicolas Pire sur le bilan des engagements en 2024
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Pourquoi c'est important - Ces visages pas encore familiers, on peut les croiser ensuite sur le terrain, au hasard d'un couloir ou lors d’une réunion Teams.

Parce que mettre un visage sur un nom, c’est déjà créer du lien.
Il est plus facile d’envoyer un message ou d’entamer une conversation avec quelqu’un qu’on a déjà vu, même brièvement, même sur une photo. Ce premier contact virtuel casse la glace. Grâce à cette initiative, la rencontre se fait déjà plus naturellement...

Parce que mieux se connaître favorise la compréhension des rôles de chacun
Entre la diversité de nos métiers et la dispersion géographique de nos équipes, mieux se connaître permet aussi de mieux coopérer.

Parce que cela participe au sentiment d’appartenance.
Pour un nouveau collègue, voir que son arrivée est annoncée, c'est plus qu'un simple mail, c'est un vrai geste d’accueil. Pour ceux qui sont déjà dans la place, ça peut être le signe d’une entreprise à visage humain.

Parce que certaines maladresses peuvent être évitées
Qui n’a jamais croisé quelqu’un en se demandant : « Il travaille ici, celui-là ? » Ou envoyé un message à une collègue sans savoir qu’elle était toute nouvelle dans l'organigramme ? Le mail « Bienvenue » peut éviter ces flottements.

Merci pour l'accueil que vous m'avez réservé. j'aime votre communication spontanée et efficace. Impossible de passer incognito maintenant

Delphine
Delphine, coordination des marchés de la maintenance - Verviers (depuis un an à la SWDE)

Génial de rencontrer les nouveaux dans notre grande société ! Maintenant, je connais les visages virtuellement avant de les croiser dans les couloirs

Stéphanie
Stéphanie, employée Investissements - Couillet

Concernées par l'intégration des « petits nouveaux », Marie-Laurence et Laurence du Centre de Compétences (processus Ressources humaines) ont proposé cette idée d'amélioration via la plateforme nosidéesontdelavaleur.be.

Depuis, cette pratique anodine mais complètement assumée s’est concrétisée. Elle a trouvé sa place dans notre fonctionnement. Elle ne demande aucun effort au lecteur, mais elle fait la différence.

Alors, la prochaine fois que nous recevons ce mail souhaitant la bienvenue à de nouveaux collègues, prenons un instant. Un visage, un prénom, une fonction : cela suffit souvent à briser la glace… ou à éviter le fameux « Qui c’est celui-là ? ».

D'habitude, je n'ouvre pas toujours tous mes mails. Mais celui-là, je le lis et je scrolle jusqu'au bout C'est intéressant de connaître les visages et prénoms des nouveaux collègues

Renato
Renato, chef maintenance - Seneffe

Le bon réflexe à avoir - Nous avons le pouvoir de transformer notre quotidien. N'hésitons pas à faire comme Laurence et Marie-Laurence. Osons nous lancer sur la piste des améliorations !

C'est ici pour introduire une idée

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Et vous, que pensez-vous de cette initiative ? Pensez-vous qu'on pourrait encore faire plus ? Ou autrement ? N'hésitez pas à partager votre avis dans les commentaires.