Nos camions aspirateurs se font remarquer… (et autres actus de ces derniers mois)

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Ouvrir un robinet est sans doute l’un des gestes les plus simples parmi ceux que l’on réalise quotidiennement. On l’ouvre et l’eau coule en abondance, nous permettant de la consommer directement. Et pourtant : l’eau du robinet, ce n’est pas de la magie, c’est du travail ! Même si, pour nous, c’est une évidence, l’actualité permet de rappeler aux consommateurs qu’il faut en permanence travailler pour garantir son approvisionnement et sa qualité.

Résumé en quelques articles et reportage, de mars à mai 2025.

Nos camions aspirateurs se font remarquer…

Un chantier à Vaulx (Tournai) a interpellé un journaliste de L’Avenir. En cause : l’utilisation d’un drôle d’engin… un de nos camions aspirateur. Le reporter a été tellement intrigué qu’il a suivi notre équipe durant toute l’intervention.

On y gagne en propreté et en rapidité, donc en nombre d’heures du personnel. Fini les hommes dans les tranchées et… pas la moindre poussière aux abords.

Extrait de L’Avenir du 13 mai

👷 Nous recrutons… et nous le faisons savoir ! Jusqu’à 500 recrutements d’ici 2030

A l’occasion d’un article de La Province (SudInfo) sur le regroupement de nos bâtiments de Mons et Frameries, nous en profitons pour annoncer que nos équipes vont s’étoffer : jusqu’à 500 recrutements sont prévus d’ici 2030. Ce reportage étant réalisé en marge d’une action coup de poing pénurie à Frameries, nous rappelons que ce dispositif permet à 80% des stagiaires de bénéficier d’un emploi.

Lire aussi : Tous groupés à Frameries

Toujours dans SudInfo, l’édition liégeoise de La Meuse mettait en avant début mai le jobday réalisé le 15 mai avec la CILE, l’AIDE et le FOREM pour recruter des fontainiers, électriciens, électromécaniciens, mais aussi des postes liés à la planification et à la relation client.

Au total, une trentaine de poste étaient à pouvoir dans les différentes entreprises. Est-ce que cela a fonctionné ? Nous reviendrons sur ce sujet dans un prochain article 😉.

Ce secteur regorge d’opportunités, notamment en matière de stabilité de l’emploi.

Extrait de La Meuse du 5 mai

Nous agissons pour garantir la qualité de l’eau

Ce sont les médias eux-mêmes qui le disent. Exemple avec ce reportage de RTL-TVI :

On retrouve également un article dans le Soir qui aborde notre action pour lutter notamment contre les perchlorates, un résidu chimique hérité de l’épandage de fientes d’oiseaux du Chili comme engrais voici… plus d’un siècle ! Une norme pour le perchlorate s’imposera aux distributeurs d’eau wallons à partir du 1er janvier 2028 mais, comme l’explique Le Soir, nous avons déjà pris les devants.

Même si le perchlorate est détecté dans 154 des 274 zones de distribution où la SWDE est présente, il n’y a pas de dépassement de la norme.

Extrait du Soir du 26 mai

Le seul puits posant problème a été équipé d’un coûteux système de résine échangeuses d’ions en février dernier.

Du côté des PFAS, alors que les médias ont initialement beaucoup évoqué sa présence dans l’eau du robinet, petit à petit ils évoquent une présence bien plus large. Dans l’eau en bouteille, de manière très concentrée dans le vin, et, comme on peut le voir dans l’infographie ci-dessous (reprise de cet article de RTL info), dans toutes les catégories de produits alimentaires que nous consommons :

Reportage EuroNews : Jusqu'à 10x + de PFAS dans le vin que dans l'eau du robinet

🚧Eau qui coule, fuites et incidents sur notre réseau qui sont passés dans les médias…

Des habitants ont signalé à Nord éclair (SudInfo), un écoulement continu sur un carrefour de la commune de Pecq. Une situation délibérée pour garantir la qualité de l’eau suite à des travaux. C’est précisément pour cela que, grâce à l’idée de collègues, une signalisation des purges a vu le jour.

Relire l’article :

Un peu plus loin, fin mars, ce n’était pas une purge mais un geyser spectaculaire le long du quai Sakharov à Tournai, suite à une rupture de canalisation rapidement réparée. Autre fuite d’eau du côté de Gilly, inondant une partie de la rue de l’Académie. D’après les dires d’un riverain interrogé par La Nouvelle Gazette, c’était un vrai torrent.

Du côté de Seneffe début mars, si la fuite n’était pas (aussi) visible qu’à Gilly, La Nouvelle Gazette rapporte qu’elle a impactée plusieurs rues en entraînant des coupures. Une situation rétablie par nos équipes.

Autre incident fin mars, à La Louvière cette fois, avec un effondrement de voirie. Le deuxième en quelques mois. Nos équipes sont intervenues pour réparer une fuite d’eau, comme mentionné dans le journal.